on entend beaucoup parler des marché informel en algérien et de la campagne d'interdiction des marchés a travers tout le territoire algérien.
a lire ces nouvelle on se dit tien enfin le retour a la règle et le respect de la lois.
en vérité c'est une tragédie pour beaucoup de petit vendeurs qui n'ont plus de revenus direct.
certains vont me dire mais ça va ils vont être indemnisé et beaucoup vont avoir des magasins et il seront délocalisé.
au font de moi ce n'etai pas la bonne solution car il y a vais quelque chose qui clochais.
un amis m'a dit qu'ils on dispersé le célèbre marché de koléa c'est un marché qui s"étend sur plusieurs rue du vieux koléa la ville coloniale comme beaucoup préfère le dire.
la ville est devenue au fil des années 90 et jusqu’à ce jours malheureux du démantèlement du marché une ville vide.
d'un autre coté un autre vendeur qui possède un magasin déclare qu'il a multiplié ses revenus par 5 c'est que les visiteurs continuent a visiter koléa par habitude mais pour quand - je ne croie pas que ça va durer pour longtemps.
les gens du peuple cherche la bonne affaire; avec les magasins c'est pas évident
un autre citoyen réplique qu'il n'arrive pas a remplir son couffin depuis que les vendeurs on étai interdit de vendre sur la rue des légume et fruit le prix a plus que augmenté.
les grossistes de tout genre surtout les marchandise périssable voient leur fruits et légumes périr.
c'est une période de transition pour laquelle tous le monde va s'adapter.
on entend beaucoup parler des marché informel en algérien et de la campagne d'interdiction des marchés a travers tout le territoire algérien.
a lire ces nouvelle on se dit tien enfin le retour a la règle et le respect de la lois.
en vérité c'est une tragédie pour beaucoup de petit vendeurs qui n'ont plus de revenus direct.
certains vont me dire mais ça va ils vont être indemnisé et beaucoup vont avoir des magasins et il seront délocalisé.
au font de moi ce n'etai pas la bonne solution car il y a vais quelque chose qui clochais.
un amis m'a dit qu'ils on dispersé le célèbre marché de koléa c'est un marché qui s"étend sur plusieurs rue du vieux koléa la ville coloniale comme beaucoup préfère le dire.
la ville est devenue au fil des années 90 et jusqu’à ce jours malheureux du démantèlement du marché une ville vide.
d'un autre coté un autre vendeur qui possède un magasin déclare qu'il a multiplié ses revenus par 5 c'est que les visiteurs continuent a visiter koléa par habitude mais pour quand - je ne croie pas que ça va durer pour longtemps.
les gens du peuple cherche la bonne affaire; avec les magasins c'est pas évident
un autre citoyen réplique qu'il n'arrive pas a remplir son couffin depuis que les vendeurs on étai interdit de vendre sur la rue des légume et fruit le prix a plus que augmenté.
les grossistes de tout genre surtout les marchandise périssable voient leur fruits et légumes périr.
c'est une période de transition pour laquelle tous le monde va s'adapter.
pour quant nous allons détruire pour reconstruire -
on le fait dans tous les domaines dans ce pays dans tous les domaine je le dit .
un autre exemple qui va vous réveiller un peut
pourquoi les brésiliens font la pub et le tourisme pour leurs favelas et en Algérie on fait démolir nos casbah moderne pour cause que c'est un quartier informel.
regardez comment nous faisons dans notre système éducatif; pourquoi on supprime l'ancien système universitaire et on instaure un tous nouveau ?!
regardez dans le transport ferroviaire, pourquoi on arrache des rail qui n’ont pas encore amorti leur cout et ont remet des toute neuf.
cette politique coute le double de l'argent elle nous mène a faire du retard dans le développement et cause beaucoup de préjudice morale et économique.
les exemple ne manque pas il suffit de se mettre dans la tete le regle suivante "pourquoi on detruit toujour pour reconstruire en Algérie"
"
A certains endroits, la crasse atteint
une épaisseur extraordinaire de 50 centimètres et les égouts y sont
bouchés depuis la saint Glinglin. A deux cent mètres de là on la sent et
on se bouche le nez. Elle s’est tellement étendue ces dernières années
qu’elle occupe actuellement presque tout le centre-ville. C’est le
premier vecteur de maladies et de délinquance de la ville ; on l’appelle
le marché des voleurs ou l’antre des produits périmés. Elle n’est plus
nettoyée depuis des années car les étals des vendeurs ambulants restent
sur place à longueur de journée et la nuit elle devient un coupe-gorge.
C’est le royaume des pickpockets.
Tous les walis qui sont passés par Oran
n’ont rien pu faire (Sellal et Ould Kablia qui ont tous les deux été
walis d’Oran sont dans le lot !). Les maires à Oran, en avez-vous
entendu parler ? il n’y en a jamais eu ! Un wali courageux (Zoukh), il
faut toujours reconnaître les Hommes avec un H, a prévu de la faire
transférer dans une grande bâtisse abandonnée à quelques mètres de là,
une ancienne cave à vin, il s’est cassé les dents. Qui dit lieu fermé
dit contrôle possible, paiement des loyers, impôts etc… Après une vague
de rumeurs l’accusant de tous les maux, tout le monde s’y est mis, car
il a aussi touché d’autres intérêts, ce wali rare, courageux a été muté
ailleurs (à Médéa). Aujourd’hui même après l’opération publicitaire et
coup de poing d'Abdelmalek Sellal pour déloger les marchés informels,
c’est la seule qui n’a pas été touchée.
Même les journaux locaux qui connaissent
la musique et préfèrent parler de ce qui se passe à Benghazi ou à
Tataouine et ignorer ce qui se passe sous leurs fenêtres (jamais un
journal d’Oran n’a révélé quoique ce soit de malhonnête qui se déroule
dans la ville) manipulés comme d’habitude avertissent : Attention ! La
rue de la Bastille khat Ahmar !
Pourquoi ? Pourquoi ? C’est simple, ceux
qui exploitent les commerces et y vendent les carreaux, parfois pour
des sommes effarantes sont les indétrônables fonctionnaires qui tiennent
la ville depuis des dizaines d’années et qui y font la loi. La wilaya
d’Oran est la seule wilaya d’Algérie où de petits fonctionnaires
possèdent des parts dans des journaux privés, des hôtels, des ensembles
immobiliers, et où on y refuse les promotions… ailleurs ! On refuse des
postes de directeurs de l’exécutif, chefs de daïra, ailleurs pour rester
sur place sous-directeur, chef de bureau ou rien avec la complicité du
ministère de l’intérieur !
|
La rue de Bastille actuellement |
El-Hbib Bouchelaghem
|
la rue de la bastille dans les années 50 |
"
c'etai ma réplique :
A vous lire on dirais que la rue de la bastille c'est un égout a ciel
ouvert hélas le dicton dit quant on veut tuer quelqu’un on dit qu'il a la
rage .
la rue de la bastille fait partie de l'histoire d'Oran
dans toutes les grandes ville du monde surtout le monde civilisé que
l'on vénère tant il y a des marchés beaucoup de marchés comme la
bastille -- barbès a paris par exemple si on ne veut citer qu'un seul
exemple
sur la rue la plus connue du monde entier la rue de wall street on
trouve des vendeurs de hot dog des vendeurs par terre qui vendent des t-shirt hélas nos responsables eux qui ne visites que les champs enlisées
ou les super marchés n'ont dans leurs vision que des marchés de science
fiction et pour moi
il ne faut pas interdire comme vous le dite --- il faut réglementer
le marché de la bastille n'a jamais étai un marché informel mai bel un
marché réglementé au moment ou la France occupais l’Algérie
je me demande si la rue de la bastille c'est elle la cause de cette
mafia ou-bien c'est le résultat de vos rêves pour rédiger juste un
article d'enfer
dommage pour un journaliste qui se retrouve poussé par certains responsables
ignard qui ne connaissent même pas ce que veut dire un marché et la
culture qu'il dégage et l’énergie qu'il génère s'il est bien entretenue
-- mais pas interdit et disloqué dispersé -
je le dit haut et fort
Ne pas interdire mais réglementer.