Saad Djebbar aime vivre à Londres et critiquer l’Algérie. Il semble se spécialiser dans la division et les critiques, propulsant des calomnies sans prendre le temps de comprendre réellement les faits.
Son rêve est de devenir président, de se faire un nom, mais toujours à Londres, dans un pays froid et éloigné des réalités algériennes.
Il considère l’Algérie comme répressive et n’hésite pas à lancer des insultes à son égard. Il minimise également le danger du terrorisme, oubliant les souffrances vécues par le peuple algérien, notamment les 100 000 victimes de la décennie noire.
Refusant de revenir dans son pays, il s’affiche pourtant comme un "fils d’Algérie". Mais comment peut-on affirmer une telle chose tout en rejetant ce pays et son histoire ?
Il nie les véritables dangers, comme ceux représentés par Ferhat, qu’il accuse sans raison d’être un pion du régime. Comment peut-il dénigrer un homme qui a mené des manifestations pacifiques à Béjaïa sans être perçu comme une menace pour la nation ?
L’objectif de Saad Djebbar semble être de détruire les fondations mêmes de l’État, à l’image de ce qui s’est passé en Libye et en Irak.
Il appelle à l’intervention de l’OTAN, espérant ainsi sous-traiter sa guerre contre son propre peuple, tout en rejetant la responsabilité sur le système et le gouvernement algérien.
Le message de Saad Djebbar est maintenant clairement compris : sa guerre est contre l’Algérie. Cette démarche est bien saisie par tous.
Le devoir de défendre le pays est un engagement pour ceux qui l’aiment et croient en son avenir. La haine qui l’anime, au contraire, n’a pas sa place en Algérie.
Que Saad Djebbar laisse sa haine à Londres et rentre en Algérie. Les Algériens ne veulent pas de personnes à double nationalité qui vivent loin de leur pays et qui, lorsqu'il s'agit de défendre ce pays qu’ils ont un jour abandonné, prônent des idéaux comme la "grande JIHÂ" et le "DHOLL".
Sa vision destructrice ne vise qu'à détruire ce qui ne correspond pas à ses attentes. Il est temps qu’il accepte sa faiblesse et qu’il prenne conscience que son destin le conduira dans un pays qui ne sera pas l’Algérie.
Lorsque ce moment viendra, une place sera trouvée pour son enterrement, car l’Algérie ne renie jamais ses enfants, mais il semble que Saad Djebbar renie son peuple et son pays.
Il est impensable qu’un tel homme puisse un jour gouverner l’Algérie. Avec sa haine, il risquerait de détruire la nation en un instant.
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