menorah et emblème du GPK

étrange similitude entre entre le chandelier juif a 7 branche et l'emblème du GPK gouvernement provisoire kabyle présidé par Ferhat Mehenni

Yasmina khadra Ose encore

paru dans LIBERTE Culture (Dimanche 26 Juin 2011)
Encore une fois il ose insulter son bled en prenant sa makla et en préparant une omelette
c'est claire qu'il n'est pas branché du tout avec l'Algérie entre autre

il procède a la chitta pour récolter les prix "le prix littéraire du ministère de la Culture du Bahreïn"
il dit "À ma connaissance, il y a erreur sur la cible. Le Bahreïn est victime de son indulgence et de ses largesses. Parce que son roi accorde beaucoup de sa générosité, les intégristes chiites réclament plus, et leurs exigences dépassent l’entendement jusqu’à menacer la légitimité du trône."
donc selon yasmina khadra :
- un chiite est un intégriste et il n'a pas le droit de réclamer
- on ne peut renverser un royaume

il dit "C’est un dommage collatéral du “printemps arabe”" car selon lui ce quise passe au bahrein n'est pas soulèvement populaire

entre parenthèses il n'a pas encore reçus le prix.


OK comme disent les américains et qu'en est il de ton pays ;ton chère pays
il dit " Ce qui se passe en Algérie m’interpelle au plus profond de ma personne. Je suis attentif au moindre soubresaut " c'est touchant d'entendre dire cela mai tout de suite après il charge et tire
hélas j’aurai tellement souhaité lire ce qu'il a dit sur le Bahrein
il dit sur l'Algérie et ce qui s'y passe en ce moment comme :
"les dialogues de sourds"
"le concret se voile la face"
"On tourne autour du pot sans oser crever l’abcès"
"J’ai le sentiment d’assister à un casting"
"Ils ont échoué dans leurs missions"
"ont le tort de penser qu’ils sont encore utiles "
"Les vraies réponses sont ailleurs"
"la communauté algérienne établie à l’étranger n’a pas été sollicitée"
"Il y a fausse donne"
"On ne fait pas un festin à partir des restes "
" nous rendre cinglés"
"de bavardages oiseux et inféconds"
"L’exclusion nous a conduits droit dans le mur"

trop de négativité qui dit beaucoup sur un personnage qui depuis qu'il est sorti d’Algérie pour s'établir aillers n'a de cesse continué a exploiter "Algérie" pour meme pas dire un mot joli un beau mot sur ce pays qui l'a enfanté
il s'ai rendu compte que hors Algérie il est considéré comme un outils pour ternir l'Algérie il n'on pas besoin de ses romans tellement il on besoins de nous piquer un un ould el bled hélas il l'avoue sans le dénoncer "Je suis intervenu au début, notamment sur de rares télés et radios françaises, mais lorsque je me suis aperçu que j’étais présenté comme un militaire, j’ai préféré m’abstenir"
je ne dirai pas plus car c'est plus la paine d'en rajouter

SAAD Djebbar : Critiques et Divisions

Saad Djebbar aime vivre à Londres et critiquer l’Algérie. Il semble se spécialiser dans la division et les critiques, propulsant des calomnies sans prendre le temps de comprendre réellement les faits.

Son rêve est de devenir président, de se faire un nom, mais toujours à Londres, dans un pays froid et éloigné des réalités algériennes.
Il considère l’Algérie comme répressive et n’hésite pas à lancer des insultes à son égard. Il minimise également le danger du terrorisme, oubliant les souffrances vécues par le peuple algérien, notamment les 100 000 victimes de la décennie noire.
Refusant de revenir dans son pays, il s’affiche pourtant comme un "fils d’Algérie". Mais comment peut-on affirmer une telle chose tout en rejetant ce pays et son histoire ?
Il nie les véritables dangers, comme ceux représentés par Ferhat, qu’il accuse sans raison d’être un pion du régime. Comment peut-il dénigrer un homme qui a mené des manifestations pacifiques à Béjaïa sans être perçu comme une menace pour la nation ?

L’objectif de Saad Djebbar semble être de détruire les fondations mêmes de l’État, à l’image de ce qui s’est passé en Libye et en Irak.
Il appelle à l’intervention de l’OTAN, espérant ainsi sous-traiter sa guerre contre son propre peuple, tout en rejetant la responsabilité sur le système et le gouvernement algérien.
Le message de Saad Djebbar est maintenant clairement compris : sa guerre est contre l’Algérie. Cette démarche est bien saisie par tous.

Le devoir de défendre le pays est un engagement pour ceux qui l’aiment et croient en son avenir. La haine qui l’anime, au contraire, n’a pas sa place en Algérie.
Que Saad Djebbar laisse sa haine à Londres et rentre en Algérie. Les Algériens ne veulent pas de personnes à double nationalité qui vivent loin de leur pays et qui, lorsqu'il s'agit de défendre ce pays qu’ils ont un jour abandonné, prônent des idéaux comme la "grande JIHÂ" et le "DHOLL".
Sa vision destructrice ne vise qu'à détruire ce qui ne correspond pas à ses attentes. Il est temps qu’il accepte sa faiblesse et qu’il prenne conscience que son destin le conduira dans un pays qui ne sera pas l’Algérie.
Lorsque ce moment viendra, une place sera trouvée pour son enterrement, car l’Algérie ne renie jamais ses enfants, mais il semble que Saad Djebbar renie son peuple et son pays.

Il est impensable qu’un tel homme puisse un jour gouverner l’Algérie. Avec sa haine, il risquerait de détruire la nation en un instant.